La sexualité a une place importante dans notre vie, dans VOTRE vie, seul ou en couple et peu importe l’âge. Nous baignons dans un monde où les messages sexuels sont très forts et omniprésents: dans les médias, les publicités, les films, les séries, sur Internet,… De plus, on sait aujourd’hui que les seniors restent encore sexuellement actifs jusqu’à 87 ans. Nous sommes dès lors tous concernés.
Or, chacun de nous peut être confronté un jour ou l’autre à un questionnement d’ordre sexuel ou à une difficulté et se mettre alors en quête d’informations. Il faut dire qu’à l’heure actuelle on en trouve énormément bien entendu sur Internet mais aussi dans de nombreux livres. Il est parfois compliqué de faire la part des choses. C’est pourquoi le sexologue est là tout d’abord pour informer le plus simplement et le plus concrètement possible.
«Une fois passé le cap de l’explication (qui suffit à guérir 30 % des problèmes sexuels), le plus important sera de trouver une solution. Ne vous angoissez pas, ne dramatisez pas. La peur de l’échec ou encore l’obligation de performance expliquent très souvent le maintien du problème».
Les causes principales de consultation chez l’homme sont:
- L’anéjaculation et l’éjaculation retardée,
- Les troubles du désir jusqu’au désir sexuel hypoactif,
- Les troubles de l’orgasme jusqu’à l’anorgasmie,
- L’hypertrophie bénigne de prostate et la sexualité,
- Le cancer et la sexualité.


Les différentes définitions des dysfonctions reprises ici sont tirées du DSM-V c’est-à-dire la 5e édition du Manuel Diagnostique et Statistique des troubles Mentaux. Il s’agit d’un ouvrage de référence publié par l’APA (Association Américaine de Psychiatrie). Il est conçu comme un guide à l’égard des professionnels de la santé.
Toutes les dysfonctions abordées peuvent être:
- primaires = depuis toujours ou secondaires = suite à une période sans dysfonction;
- circonstancielles = observables seulement dans certaines circonstances ou généralisées = peu importe le/la partenaire, en duo ou en solo,…
L’origine d’une dysfonction est toujours multifactorielle:
- Facteurs cognitifs (méconnaissance ou connaissances erronées, pensées parasites, perception négative de son image corporelle, absence ou faible utilisation de pensées érotiques,…).
- physiologiques, émotionnels, comportementaux,…
Pour être appelée dysfonction, elle doit durer depuis minimum 6 mois. Elle doit également provoquer une souffrance significative chez le sujet. Elle ne peut pas être mieux expliquée par une cause non sexuelle, la prise d’un médicament ou une affection médicale.
Il est évident que les informations présentes ici constituent une base. N’hésitez pas à me contacter et à prendre rendez-vous pour un suivi et des conseils personnalisés.